Quatrième de couverture
Texas, 1934. Elsa Martinelli a la vie dont elle a toujours rêvé : une ferme dans les Grandes Plaines, de beaux enfants, un foyer uni. Mais sous les effets conjugués de la Grande Dépression, qui condamne des millions d'Américains à la misère, et des effroyables tempêtes de poussière qui ravagent les récoltes, son monde s'effondre. Lorsque son mari l'abandonne, elle doit prendre la décision la plus difficile de sa vie : se battre pour la terre qu'elle aime ou partir pour la Californie, en quête d'une vie meilleure pour sa famille. Mais y a-t-il seulement une seconde chance pour les exilés ?
Mon avis
Quelle histoire ! Elle se passe au Texas en 1934 ! Elsa vit dans une belle maison, ses parents ont de l'argent, elle rêve de s'émanciper, de porter des robes comme à la ville, d'aller danser seulement ce n'est pas ce que lui réserve la vie. Ses parents ne l'aiment pas et lui montre bien, lui disent qu'elle restera vieille fille et qu'elle doit se comporter comme telle. Un jour, elle rencontre le garçon qui deviendra son mari, ses parents ont quitté leur Italie pour vivre le rêve américain, ils ont une ferme. C'est là qu'Elsa devra vivre et s'acclimater à ce nouveau style de vie.
J'ai beaucoup aimé cette lecture, je me suis attachée à Elsa, de elle on connait sa force mais aussi ses pensées. Nous sommes dans les années 30 en Amérique, à l'époque de la grande dépression, à cause du dérèglement climatique ou à la mauvaise gestion des sols, allez savoir, plus rien ne pousse au Texas, les fermiers sont au bord de la faillite ... Elsa, sa fille et son fils vont devoir prendre la route vers la Californie, l'eldorado à première vue. Tout ne se passera pas comme prévu. Les difficultés vont s'accumuler, sa famille et les exilés vont subir beaucoup d'injustices et Elsa va rester forte pour ses enfants.
La lecture est agréable, tout est très bien décrits avec ce qu'il faut pour se trouver là bas avec les personnages, ressentir la colère, la tristesse, l'injustice. Une très chouette lecture, un roman bouleversant, j'ai un peu de mal à laisser partir les personnages et surtout Elsa Martinelli !

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