Quatrième de couverture
Entre corps érotisé et corps souffrant, magie de la scène et coulisses des douleurs, Chavirer raconte l’histoire de Cléo, jeune collégienne rêvant de devenir danseuse, tour à tour sexuellement piégée par une pseudo Fondation de la vocation, puis complice de ses stratégies de “recrutement”. Trente ans plus tard, alors qu’elle-même a fait carrière – des plateaux et coulisses de Champs-Elysées à la scène d’une prestigieuse “revue” parisienne – l’affaire ressurgit. Sous le signe des impossibles pardons, le personnage de Cléo se diffracte et se recompose à l’envi, au fil des époques et des évocations de celles et ceux qui l‘ont côtoyée, aimée, déçue ou rejetée.
Mon avis
Le début commence bien, une jeune ado veut faire de la danse et elle est contactée par une femme qui recherche des talents.
Puis petit à petit l'atmosphère s'alourdit. On note l'incompréhension de Cléo qui ne comprend pas ce qui se passe et mon coeur de maman se serre. On sent toute la détresse de Cléo et ça va la marquer pour toute sa vie et ce qu'elle fera en fonction de ce qui s'est passé dans sa jeunesse. (conséquences)
Un peu brouillon tout de même, j'ai parfois eu du mal à raccrocher les wagons, dommage le début promettait plus que ça
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