Quatrième de couverture
Lorsqu'ils reçoivent une lettre de Simone Jackson les invitant à venir
la rencontrer pour prendre possession d'objets ayant appartenu au
légendaire bluesman Robert Johnson, l'historien Donald Kane et
l'anthropologue Virginia Craft n'ont rien de plus en tête qu'une
publication universitaire qui contribuera à l'avancement des
connaissances sur les origines du blues.
Mais le contenu de la
boîte en fer-blanc que leur remet la vieille dame change tout. Parmi les
objets attendus (un pick et une slide), se trouvent un doigt momifié,
une amulette de protection et un carnet dans lequel Johnson a transcrit
ses chansons, en plus de notes disparates en apparence anodines. Mais
lorsque Kane découvre, caché dans la reliure, le texte de la mythique
trentième chanson de Johnson, la légende de son pacte avec le diable
prend un nouveau sens.
Tandis que Kane et Craft suivent la piste
que leur indique le manuscrit, les événements se bousculent : les
bluesmen qui peuplent les rues de Memphis se suicident les uns après les
autres de manière identique et sordide; les mauvais sorts s'accumulent
et Kane, le cartésien, doit finir par admettre qu'ils existent. De plus,
la police le soupçonne d'être derrière les morts suspectes. Comme si
cela ne suffisait pas, Ezekiel Thorne, un mystérieux personnage, cherche
à acquérir le manuscrit pour un client. Au fil des péripéties, Kane
doit accepter qu'une âme peut être sauvée.
Mon avis
Je remercie les éditions "Hugo roman" ainsi que Babelio pour l'envoi de ce livre.
Voilà une histoire pas banale du tout.
Avant de commencer à lire le livre, j'ai écouté des morceaux du légendaire bluesman Robert Johnson, musique que je n'écoute pas mais que j'apprécie quand je l'entends.
L'enquête menée par l'historien Donald Kane et l'anthropologue Virginia Craft est très intéressante et plein de rebondissements, quelques petits passages font une part belle au surnaturel, ne dit on pas que le chanteur avait vendu son âme au diable ?
J'ai cependant été déçue en constatant que les chansons présentes dans le livre n'étaient pas traduites en français, mon anglais n'est pas assez bon pour tout comprendre sans faire des recherches, j'ai finalement fini par passer au dessus de ces paragraphes ce qui a pour résultat une perte d'élan dans ma lecture et c'est dommage.
L'ambiance blues se ressent aussi pendant la lecture par quelle magie je ne saurais le dire, dès le début j'étais là bas dans le Mississippi ...
C'était donc une chouette lecture, bien dépaysante
Bonjour, Pour votre info, question de respecter l'artiste, il n'est pas permis de traduire les chansons sans autorisation...Pierre
RépondreSupprimerJe ne savais pas, quel dommage, les traductions m'ont vraiment manquées
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