Quatrième de couverture
Florence, début des années 1940.
Dans la belle villa aux dalles roses des Rosselli, Angelo Bianco, bien qu’orphelin, a grandi comme un membre à part entière de la famille. Eva, la fille de la maison de deux ans sa cadette, lui jouait du violon, dansait pour lui et pataugeait dans la fontaine pour l’amuser. Inséparables, ils se disputaient pour des broutilles et s’avouaient leurs secrets les plus profonds. Et pourtant, ils ne se sont plus revus depuis qu’il est devenu prêtre : elle ne lui a jamais pardonné de l’avoir abandonnée pour entrer dans les ordres.
Mais quand les nazis arrivent en Italie, les querelles du passé n’ont plus d’importance. En tant que juive, Eva risque la déportation et Angelo est le seul à pouvoir la sauver. Engagé dans les réseaux de résistance catholiques, il cache et exfiltre les réfugiés des pays occupés. Il est prêt à tout sacrifier pour elle, mais face aux heures sombres qui s’annoncent, cela sera-t- il suffisant ?
Mon avis
Mais quelle horreur ! Quel courage !
La chanson de Jean-Jacques Goldman disait "et nous qu'aurions nous fait en 1917 ?" La question se pose encore en 1940 .... Quel camps aurions-nous choisi ?
L'histoire est prenante, addictive, beaucoup de rebondissements. Je me suis attachée aux personnages. Ici, l'histoire et ses horreurs se passent en Italie, ça change de l'Allemagne ou la France mais finalement peu importe le pays où ont lieu ces atrocités, ça a existé, sauf que le Vatican a refusé de prendre position et c'est impardonnable.
Je sors de cette histoire bouleversée comme dans toute histoire comme celle-ci, une incompréhension totale du comportement de certaines personnes et le pire c'est que de nos jours cela existe encore, cette haine envers d'autres croyances, d'autres ethnies ...
L'homme n'apprend-il jamais rien !!!!!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire