Quatrième de couverture
« Dans ce nouveau roman, j’ai voulu donner vie à deux enfants blessés : Kalya, d’origine tzigane que recueille un ferrailleur, et Sans-Nom, un gamin un peu chétif, fils d’une prostituée. L’histoire prend sa source dans les plaines du Nord au milieu des années 30 et vient mourir dans le Sud-Est de la France beaucoup plus tard. Deux lieux, deux époques et deux terribles destins. Aimer le destin, c’est le forcer à vous écouter pour que, un jour, à son tour, il vous aime un peu. J’ai une affection particulière pour ces deux personnages. Ils m’habitent depuis toujours. Je voudrais tellement qu’ils entrent dans vos vies. »
Mon avis
Je suis déçue, je suis passée à côté d'une belle histoire.
Le paradis des vauriens, c'est comme ça qu'ils nomment ce lieu où ils passent beaucoup de temps. Qui ça ils ? mais Keyla et Hugo.
Alors je dois vous dire que je suis déçue car je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire. J'ai cru au fil des pages que j'allais réussir à me plonger dedans mais non pas moyen. Tout me paraissait du coup trop long. J'aurais dû lâcher le livre et en prendre un autre en attendant des jours meilleurs mais j'ai persisté. C'est vraiment dommage car tout y est dans ce roman. Des êtres sensibles, déchirés tels que je les aime, des histoires d'amour, d'amitié, une histoire pas banale du tout avec beaucoup de rebondissements.
J'aime beaucoup ce qu'écrit cet auteur, sa sensibilité me touche, je m'en veux d'avoir continué ma lecture alors que ce n'était clairement pas le moment.
J'ai malgré tout survolé ce qui me semblait "long" et vraiment l'histoire est vraiment très bien.
J'aurais pu m'attacher encore plus aux personnages de Kélia et Hugo, vraiment d'ailleurs j'ai eu par moment des pincements au coeur.
je suis passée à côté d'un chouette roman, dommage.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire