dimanche 3 octobre 2021

Mais ce jour là, je me suis tu - Jacques Bernard

Quatrième de couverture

Lucien et Maxime se rencontrent de manière fortuite. L’un fuit comme il peut l’enfer familial, l’autre tente d’échapper au Service du Travail Obligatoire. Tout les oppose. De leur détresse naît une amitié qui ne se démentira jamais, même lorsque Lucien sera emprisonné et Maxime cloué sur un lit. Dans leur enfermement, ils entameront une correspondance qui les aidera à dénouer peu à peu l’imbroglio des évènements, des dénonciations, des perfidies qui ont occasionné leur infortune. 

Mon avis 

J'ai lu ce livre dans le cadre d'une masse critique sur Babelio, que je remercie ainsi que les éditions Moires pour l'envoi de ce livre. 

La couverture est sobre, je ne suis pas sure du tout qu'elle m'aurait attirée dans une librairie, c'est une chance donc d'avoir reçu ce livre car j'ai vraiment aimé me plonger dans cette lecture.

 Nous découvrons chapitre après chapitre la correspondance entre Lucien et Maxime, le premier emprisonné et le second cloué sur un lit. Au fil de la lecture, nous découvrons comment est née leur amitié, pour découvrir les liens qui les lient nous retournons dans leur passé respectif, du temps de la seconde guerre mondiale à l'époque du régime de Vichy et du STO (service du Travail Obligatoire). Ce n'est pas une histoire tournée sur leurs "enfermements" même si bien sur c'est un sujet traité dans l'histoire et cela est très bien décrit, c'est un plus dans l'histoire ...

J'ai beaucoup aimé cette lecture où il est facile de poser son livre comme pour attendre la prochaine lettre

Une histoire d'amitié très forte, que s'est-il passé pour que l'un se trouve en prison, l'autre dans un lit, enfermé chacun à leur manière, Où tout cela va-t-il les mener ? Je vous invite à lire ce roman pour le savoir

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