mercredi 8 mai 2019

Marie Stuart - Stefen Zweig

Quatrième de couverture

Reine d'Écosse à l'âge de six jours, en 1542, puis reine de France à dix-sept ans par son mariage avec François II, Marie Stuart est veuve en 1560. Elle rentre alors en Écosse et épouse lord Darnley, avant de devenir la maîtresse du comte Bothwell. Lorsque ce dernier assassine Darnley, Marie doit se réfugier auprès de sa rivale, Élisabeth Ire, reine d'Angleterre. Celle-ci la retiendra vingt ans captive, avant de la faire condamner à mort. Son courage devant le supplice impressionnera les témoins, au point de métamorphoser celle que l'on disait une criminelle en une martyre de la foi catholique. Sur cette figure fascinante et controversée de l'histoire britannique, le biographe de Marie-Antoinette et romancier de Vingt-quatre heures de la vie d'une femme a mené une enquête rigoureuse. Ce récit passionné et critique nous la restitue avec ses ombres et ses lumières, ses faiblesses et sa grandeur.

Mon avis

Mais pourquoi ce choix de lecture ? La curiosité tout simplement, un film sort sur Marie Stuart et avant de me rendre au cinéma pour le voir, j'ai voulu en savoir un peu plus sur qui était Marie Stuart ... je suis nulle en histoire :-) j'avoue que ça me fait un peu peur, il y a tellement de personnages ....

Qu'ai-je appris ?

Déjà Marie Stuart à peine née est déjà Reine d'Ecosse, son père meurt 6 jours après sa naissance et elle est la seule héritière du trône. Avant ses 6 ans, l'Angleterre et la France se la dispute, sa mère est obligée de d'abord la cacher pour la protéger puis elle partira vers la France où elle sera reine de France en épousant François II qui mourra un an après leur mariage arrangé.

Voilà, ça se n'est que le début, le reste est tout aussi impressionnant. J'ai vraiment beaucoup aimé cette lecture, ça se lit très bien, pas un moment d'ennui et quelle vie !

Ce que je retiens c'est que Marie Stuart est une femme impressionnante, cette époque l'est tout autant, que d'intrigues, de manipulations, des manigances avec des assassinats c'est peut être aussi ce qui m'a plu dans cette lecture finalement ce côté un peu trépidant comme un policier et quelle femme !

Je suis allée voir le film au cinéma, quand j'ai lu "Marie Stuart" bien sur mon coeur battait pour elle et pas pour la reine Elisabeth. Puis je suis allée voir le film ... Et ... Quelles femmes ! Oui avec un S, en regardant le film j'ai encore mieux senti les sentiments contradictoires d'Elisabeth, sa douleur de ses décisions, ce que son coeur aurait pu lui dicter et ce que sa fonction de reine l'oblige à faire, cette dualité était plus visible dans le film. Je reconnais que je suis très émotive en ce moment, mais je dois reconnaitre que ce film m'a tiré quelques sanglots, le destin de ces deux femmes m'a profondément touchée. 




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire